On l’emmène

C’est après avoir porté des soins à un cycliste ayant dérapé que nous commençons la randonnée.

En chemin, nous avons du ramener un chien perdu, avec collier, à un chasseur.

A peine séparé, entre ceux de la rando douce et ceux de l’itinéraire normal, tout le monde se retrouve à faire de la rando douce à cause d’une bonne averse.

Un parcours dans la campagne et les rues du village, écourté par une météo  très humide.

Un réconfort près d’un sapin de Noël nous à permis de terminer cette randonnée dans la bonne humeur.

Pensée: Un grain de gaieté assaisonne tout. Baltasar Gracian

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